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  • SOUVENIRS Voyages

    Des souvenirs pleins les yeux, les
    oreilles. Au bord du désert du Ténéré au
    Sahara, au Niger. Inattendu, incroyable, de constater la vie, tant
    humaine, que faune. C'est dans la massif de l' Aïr que
    l'expérience a commencé pour cinq jours. De la marche
    à pieds pendant sept heures part jours. Nous bivouaquons à
    la belle étoile (il fait froid avec un duvet léger). Le
    lendemain, l'atmosphère est toute douce. Les personnes
    vivant aux alentours de Teserzeht.Le lendemain nous avons droit aux
    premiers contacts des jeunes visiteurs. En haut de la colline ou des
    dessins primitifs nous surprennent. Delà nous avons devant
    nous toute la vie matinale des familles nomades. C'est la
    plénitude, le site est d'une couleur limpide, lumineuse.
    Que, je retrouverai toutes les fois que je suis allée au
    Niger. C'est féerique, cette lumière ne me quitte
    pas. Je reste imprégnée pars ses ocres, ses jaunes, ses
    rouges. Toutes ses nuances se projettent sur le sable, qui est de
    couleurs différentes d'une région à l'autre.
    Dans les endroits de puits : une
    activité indéscriptive y règne. Les bergers,
    sont là pour donner à boire à leur troupeau. Les
    femmes viennent faire le ravitaillement des besoins en eau parfois
    pour deux jours. Pour des questions d'hygiène les
    habitations sont éloignées. Mais c'est souvent le
    manque d'eau qui provoque l'éloignement.



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  • Mes souvenirs

    Je suis née en mille neuf cent vingt huit, entourée d'une nombreuse famille ; maman avait encore ses deux grand- mères, ses parents, un frère et deux sœurs.Tous se petit monde partageait le mène appartement.Lorsque j' ai eu trois ans mes parents se sont installés à la campagne ;dans l' intervalle était né mon frère Maurice ;c' est de cette époque que remontent mes plus anciens souvenirs.Je me revois jouant dans le jardin avec de la terre bien mouillée dont je faisais du boudin ;je me vois aussi un jour ou maman m'avait lave les cheveux,j'étais assise dans un petit fauteuil, en haut de quelques marches d'escalier ,et ,en me renversant trop en arrière je suis tombé, heureusement sans me faire de mal .Lorsque j'eu cinq ans nous sommes revenu à Lyon ; nous avons partagé le logement de mes grands parents jusqu'à la naissance de mon deuxième frère en Janvier 1936.Dans l'intervalle j'avais commences à fréquenter l'école,je me souviens de mon institutrice de maternelle qui nous racontait des histoires qu'elle animait avec un pantin polichinelle.Plus tard ce fut madame Buffard qui me fit pleurer avec l' histoire de Jeanne d'Arc.En1939 naissance d'une petite sœur et séjour à Saint Raphaël,séjour qui durera trois mois au lieu de quarante jours à cause de la guerre En 1940 évacuation des enfants des écoles de la ville de Lyon ;puis reprise de notre train-train habitue Pour Noël la joie d'accueillir un petit frère. Malheureusement maman tombe malade et décèdera neuf mois plus tard



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